La presse en parle

Laurent Bonnefoy chronique La fragilité des funambules.

Un livre "puissant" pour Aurélia Dejond dans Marie-Claire.

Présentation des éditions F deville au micro de Daria Bonnin.

Sur Radio Dunes (Arcachon) et 47 FM (la radio du Lot-et-Garonne).

Verena Hanf au micro de Daria Bonnin pour La Fragilité des funambules.

Chroniques sur Textes et prétextes, sur Les Belles Phrases, sur En lisant, en voyageant, sur livrogne, sur Lire et sortir...

Deborah Danblon parle de RÂoul dans l'émission d'Emmanuel Khérad sur France Inter, La Première, la RTS et Radio Canada.

C'est un incroyable premier roman que vous propose Lucile aujourd'hui ! "Virus : Ou la mort des oiseaux" de Dominique Persoons (Éditions F deville). Un récit plutôt visionnaire... Découvrez maintenant pourquoi !

Passionnant, mystérieux, bouleversant d'humanité, ce premier roman aux airs hitcockiens a été écrit trois ans avant l'arrivée du Coronavirus dans nos vies. Flippant ? Je ne vous le fais pas lire (enfin si). L'écriture est percutante, solaire, elle trace des lignes dans le chaos, fait vibrer l'écho de nos journées sans les rendre répétitives. La nature est venue demander des comptes à l'homme, aucune négociation ne sera possible. C'est terrible et merveilleux. Merci pour ce récit !

Un tête-à-tête qui rend compte de la belle vivacité de la création littéraire. Dans une ambiance feutrée, sur le ton de la confidence, des auteurs répondent aux questions de Gilles Laporte. Des entretiens enrichis de lectures qui permettent d’explorer le fond et la forme des œuvres, leur place dans la démarche de création de l’auteur, son regard sur le monde. Un encouragement à la lecture de livres et à une meilleure connaissance de notre patrimoine.

Dominique Persoons, chirurgien orthopédiste dans un hôpital de Lorraine signe un roman prémonitoire sur cette grippe qui décime les oiseaux et bouleverse la vie de toute la ville de Saverne.

S’il y a un livre à lire c’est Virus ou la mort des oiseaux de Dominique Persoons paru aux Éditions Deville. Pourquoi cet ouvrage-là ? Pour deux raisons majeures : parce qu’il a été écrit par un scientifique, plus précisément un chirurgien d’un hôpital public de Lorraine, ensuite parce qu’il recèle une particularité exceptionnelle. Les 240 pages livrent une description insoupçonnée du commun des mortels, une description quasi chirurgicale, si j’ose dire, d’un récit aussi poignant que révélateur.